Invitez un Martien
dans votre
organisation.
Il est malpoli mais dispose de très bonnes antennes
Une de nos méthodologies phares est celle que nous avons nommée, au fil du temps et des missions, le rapport du Martien.
Elle permet de se faire une idée rapide de son capital digital sans investir dans des audits coûteux, tout en offrant des pistes correctives et concrètes de mise en œuvre sur le terrain.
Enfin, elle rend possible la combinaison des approches stratégique et opérationnelle, dans le but de revoir sa politique d’entreprise ou, plus modestement, sa stratégie de contenus.
Un audit de votre capital digital
Le rapport du Martien
Pour beaucoup, il y a une vue stratégique, à très long terme et à haut niveau, et à l’opposé du spectre, la pratique du terrain. Cette vue théorique, que l’on voit souvent entretenue au travers des formations en stratégie (et qui a son sens dans un but didactique de simplification) n’a cependant pas de fondements pratiques. L’expérience montre en effet qu’il n’y a pas de véritable dichotomie entre les deux. Le stratégique et l’opérationnel se nourrissent l’un de l’autre.
invitez un Martien chez vous
Votre capital digital est le reflet de votre stratégie
Votre capital digital reflète les valeurs, la philosophie, l’approche de votre entreprise, et la réalité concrète de votre positionnement.
Nous vous proposons donc de regarder l’ensemble de votre capital digital, les applications si elles existent, dans leur intégralité leur compatibilité, les sites marchands, les places de marché, les blogs et autres sites et plates-formes de contenu et plate-forme d’échanges, les médias sociaux…
Le capital digital est la résultante de l’imbrication de l’ensemble de ces éléments digitaux (cf. notre schéma simplifié et non exhaustif à droite)
Pourquoi un rapport du Martien ?
Le Martien est cette personne qui vous regarde l’extérieur et, sans préjugés, vous fournit un rapport d’étonnement sur votre capital digital. L’expression « rapport du Martien » vient du travail de Vincent Flanders, auteur du site Webpagesthatsuck.com (littéralement « les pages Web qui craignent »). Dès les débuts de la Toile, Flanders a analysé les mauvais sites Web au travers de check-lists aussi hilarantes qu’impitoyables.
Un des principes édictés en était qu’un « Martien » devait être capable de comprendre votre site Web d’un seul coup d’œil. Sous-entendu : pour qu’un site Web soit bon, il faut qu’un visiteur qui ne connaîtrait absolument rien de vous ni de votre histoire soit capable de décoder immédiatement ce dont vous essayez de lui parler.